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Nos actifs

Cette page regroupe l’ensemble des actifs que vous retrouverez dans nos cures ainsi que les études scientifiques qui démontrent leur efficacité sur les différents symptômes de l’endométriose.

Nous attachons une grande importance à la qualité de nos cures, en utilisant uniquement des actifs de pointe dont l'efficacité est prouvée scientifiquement. Nos formulations sont les plus pures possibles, sans agents de charge, ni nanoparticules.

Les Probiotiques

La présence de plusieurs souches de probiotiques, hautement dosées, trouve plusieurs justifications dans le cadre de la formule Endobelly+ :

1.   Plusieurs études récentes mettent en avant le constat d’un déséquilibre du microbiote intestinal associé à l’endométriose. Cette dysbiose pourrait à la fois être une cause et une conséquence de la pathologie. Au-delà des aspects immunitaire, inflammatoire et de différenciation cellulaire impliqués dans l’endométriose et régis en grande partie par l’intestin, cette dysbiose jouerait également un rôle dans le déséquilibre oestrogénique constaté au cours de l’endométriose. Le microbiote intestinal (et plus précisément sa part baptisée « œstrobolome ») joue en effet un rôle important dans la métabolisation des oestrogènes.

2. Les douleurs et troubles intestinaux (flatulences, distensions abdominales, troubles du transit) peuvent être améliorés par un rééquilibrage de la flore intestinale et l’apport de certaines souches de probiotiques soigneusement sélectionnées.

Lactobacillus gasseri 

Chez des femmes souffrant d'endométriose, cette souche a montré au cours d’un essai clinique randomisé, un soulagement des douleurs abdominales, en particulier au cours de la période menstruelle, et un abaissement du niveau global d'inflammation.

Sources: 
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21153437/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31310070/

Bifidobacterium longum et Bifidobacterium breve

Efficacité mise en avant par plusieurs études pour limiter certains troubles intestinaux, notamment dans le cadre de syndrome de l'intestin irritable. Amélioration en particulier des douleurs et des flatulences par les deux souches et également des distensions abdominales par B. breve.

Sources : 
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23548007/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26134988/

LE PEA

Le PEA est un lipide endogène, naturellement produit par l’organisme en cas de stress physiologique, de douleur, d’inflammation. Identifié depuis le milieu du XXe siècle, il est autorisé en Europe au sein des compléments alimentaires depuis 2008 et fait l’objet d’un nombre croissant d’études scientifiques. Du fait de son action sur PPAR- et indirectement sur la capacité de l’organisme à répondre aux cannabinoïdes naturellement produits par l’organisme, le PEA est notamment doté de vertus antalgiques et anti-inflammatoires. Il a été étudié sur des panels de femmes souffrant de douleurs pelviennes sévères liées à une endométriose et en cas de dysménorrhées avec des résultats notables sur un abaissement du niveau de douleur ressenti et une moindre nécessité de recourir à des médications antalgiques.

La N-acétylcystéine

La N-acétylcystéine (NAC), forme acétylée de l’acide aminé cystéine, est bien connue pour son action mucolytique ou son utilisation en cas d’intoxication au paracétamol. C’est en réalité son activité antioxydante qui lui confère cette qualité d’ « antidote », car elle permet la synthèse de glutathion réduit dont le stock hépatique est épuisé lors d’une intoxication au paracétamol. La NAC est également dotée d’une action anti-inflammatoire et antiproliférative, bénéfique notamment dans le cadre d’un abaissement des dysménorrhées (règles douloureuses) et des douleurs pelviennes chroniques observées chez des femmes souffrant d’endométriose. 

L-Glutamine 

La glutamine est un acide aminé contribuant à soutenir la qualité de la muqueuse intestinale en luttant notamment contre son hyperperméabilité et en influençant l’équilibre du microbiote intestinal.

LES MINÉRAUX

BISGLYCINATE DE ZINC

Le zinc sous forme chélatée par deux molécules de glycine (bisglycinate) est particulièrement bien assimilé par l’organisme. C’est cette forme de zinc que l’on retrouve dans la formule d’Endobelly+. Les études nous permettent d’affirmer les éléments suivants :

  • Un bon statut en zinc serait associé à une baisse du risque d’endométriose.
  • Les femmes souffrant d’endométriose semblent avoir des taux de zinc significativement inférieurs à celles n’en souffrant pas.
  • Le zinc est un minéral impliqué dans la structure et donc la fonctionnalité de nombreuses protéines. Il est ainsi pourvu d’actions sur l’immunité, les défenses antioxydantes et l’inflammation. Il participe également au maintien de l’intégrité de la muqueuse intestinale
  • « Ni trop, ni trop peu » : la carence en zinc tout comme l’excès d’apport, favorisent tous deux un déséquilibre du microbiote intestinal avec le développement facilité de populations de bactéries pathogènes. Des apports excessifs, même sur de courtes durées, pourraient par ailleurs produire un effet de type immunosuppresseur. Il est donc recommandé d’être vigilant à ne pas cumuler les sources de supplémentation en zinc.
  • Le zinc aurait également la capacité de moduler les récepteurs NMDA, impliqués dans la signalisation de la douleur.

Bisglycinate de magnésium

Le magnésium sous forme de bisglycinate (magnésium chélaté par deux molécules de glycine) est connu pour être particulièrement bien assimilé et toléré au niveau digestif. C’est cette forme de magnésium que l’on retrouve dans la formule d’Endobalance.

On estime qu’environ 75% de la population française aurait des apports insuffisants en magnésium. Le magnésium contribue au fonctionnement normal du système nerveux. En complément de l’extrait d’ashwagandha également présent dans la formule, cette action régulatrice du fonctionnement du système nerveux peut favoriser une baisse de la synthèse de cortisol au sein de l’organisme afin de libérer la voie de synthèse de la progestérone. Cet effet vient s’opposer à l’hyperœstrogénie relative observée notamment au cours de l’endométriose et du syndrome prémenstruel. Le magnésium est par ailleurs un cofacteur de la synthèse et de l’activation de la vitamine D, également présente dans la formule Endobalance. 

La Curcumine 

La curcumine possède de précieuses vertus en résonance avec la physiopathologie de l’endométriose. Elle est notamment dotée d’activités antioxydantes, anti-inflammatoires et anti-angiogéniques, mises en lumière par de multiples études, y compris dans le cadre spécifique de l’endométriose

Les vitamines

Vitamine D3

Dotée de très nombreuses activités encore insoupçonnées il y a quelques décennies, la vitamine D suscite un intérêt nettement croissant de la part de la communauté scientifique depuis une vingtaine d’années :

  • Sous nos latitudes, 80 % de la population serait déficitaire en vitamine D.
  • Les femmes souffrant d’endométriose auraient un statut en vitamine D globalement inférieur à celui des femmes non atteintes. Par ailleurs une hypovitaminose D serait un facteur de risque d’endométriose.
  • Chez les femmes souffrant d’endométriose, une relation inverse est observée entre les taux sanguins de vitamine D et la sévérité de l’endométriose.
  • Parmi les récentes découvertes, cette vitamine contribue notamment à réguler la composition du microbiote intestinal et à abaisser l'inflammation via une action régulatrice sur le système immunitaire.
  • Plusieurs études mettent en avant le fait que des prises quotidiennes de moindres doses vitamine D sont plus efficaces que des administrations plus ponctuelles de doses importantes.

Vitamine B6

La vitamine B6 contribue à une fonction hormonale normale. Plusieurs études mettent en évidence l’action régulatrice de la vitamine B6 sur le fonctionnement œstrogénique et progestatif via, notamment, une modulation de l’expression des récepteurs stéroïdiens. La vitamine B6 joue également un rôle de cofacteur favorisant l’assimilation du magnésium également contenu dans la formule Endobalance.

Vitamine E

Contrairement à la vitamine E synthétique contenant uniquement de l’α-tocophérol, la vitamine E naturelle, contenue dans la formule Règles Douloureuse, contient l’ensemble des 8 isomères : 4 tocophérols et 4 tocotriénols. Si l’α-tocophérol est l’isomère doté de l’activité biologique la plus élevée, son excès (en cas de prise importante de vitamine E synthétique) provoque paradoxalement une perte biliaire de gamma-tocophérol et une altération du statut en tocotriénols, dont le déficit se traduit par une baisse des défenses antioxydantes et anti-inflammatoires.

  • La vitamine E contribue à protéger les cellules contre le stress oxydatif.
  • Les femmes atteintes d’endométriose semblent avoir des taux de vitamine E plus bas que ceux observés chez des sujets témoins ne souffrant pas de la pathologie. Par ailleurs, ce taux est encore davantage abaissé au cours des formes modérées à sévères de la maladie par rapport aux formes plus légères.

Les plantes adaptogènes

L’Ashwagandha

L’extrait breveté de racine d’ashwagandha (Withania somnifera) KSM-66®, utilisé dans les gélules Endobalance, est standardisé à 5 % de withanolides. Très concentré, il est obtenu exclusivement à partir de racines d’ashwagandha, les preuves d’efficacité au cours d’essais cliniques menés sur l’homme étant bien plus solides pour les extraits de racines que pour ceux intégrant des feuilles. Son extraction est réalisée sans alcool ou autre solvant chimique.

L’ashwagandha est une plante adaptogène utilisée en médecine ayurvédique depuis plusieurs millénaires. Elle est traditionnellement connue pour renforcer les capacités de l’organisme à s’adapter au stress et pour améliorer la qualité du sommeil.

L’objectif dans le cadre de l’équilibre hormonal est d’abaisser le niveau de sécrétion de cortisol afin de libérer la voie de synthèse de la progestérone et de contrebalancer ainsi une hyperœstrogénie relative, observée notamment dans l’endométriose et le syndrome prémenstruel. En effet, le cortisol et la progestérone sont synthétisés à partir du même précurseur : la prégnénolone, qui, en cas de stress excessif, est majoritairement convertie en cortisol, au détriment de la progestérone.

Le Rhodiola Rosea

L'extrait de racine de Rhodiola Rosea utilisé dans la formule Règles Douloureuses est hautement dosé en molécules actives (rosavine et salidroside). Au-delà d’activités antioxydantes et anti-inflammatoires mises en avant par certaines études, la rhodiole est surtout connue pour ses capacités à atténuer l'anxiété et les syndromes dépressifs indirectement sources d'inflammation et de douleur.

Le Gattilier

L’extrait de baies de gattilier (Vitex agnus castus) utilisé dans la formule Règles Douloureuses est standardisé à 0,5% d’agnusides. Cette qualité garantit une stabilité de concentration et une efficacité en lien à la fois avec la proportion d’agnusides et la dose d’extrait présente dans les gélules. Les agnusides comptent parmi les substances diterpéniques naturellement contenues dans les baies de gattilier. Ils agissent sur l’hypophyse en stimulant les récepteurs D2 à la dopamine, ce qui contribue à réduire la sécrétion hypophysaire de prolactine et à accroître celle de progestérone par le corps jaune ovarien. Le gattilier est bien connu pour son action positive au cours du syndrome prémenstruel et cet effet progestogénique va également dans le sens d’une compensation de l’hyperœstrogénie relative observée au cours de l’endométriose. Il a notamment montré une réduction des mastodynies au moment des règles. Trois cycles menstruels peuvent être nécessaires avant de ressentir les effets du gattilier.

OMEGA 3

Les omega 3 EPA et DHA aident à la gestion de l'endométriose grâce à leurs puissantes propriétés anti-inflammatoires.
Les EPA sont précurseurs de molécules anti-inflammatoires comme la prostaglandine de type 3 (PGE3) et Les DHA précurseurs de marésines et résolvines qui jouent un rôle important dans la résolution de l’inflammation.

Dans le cas de l’endométriose, une prise d’OMEGA3 aide à faire régresser les lésions et lutte contre les dysménorrhées.(Demirturk et al., 2002; Deutch et al., 2000; Rahbar et al., 2012). 

En effet, les prostaglandines inflammatoires, sécrétées en fin de phase lutéale et les premiers jours des menstruations proviennent d'un déséquilibre en EPA.L’EPA est en effet un précurseur de la prostaglandine E3 anti-inflammatoire.

Dans le cadre de l’endométriose, le ratio AA/EPA est un facteur pertinent de la sévérité de la maladie (Khanaki et al., 2012). Des études montrent qu’une supplémentation en EPA/DHA diminue les douleurs et une étude chez le rat a même montré une régression des lésions endométriosiques (Akyol et al., 2016). De plus, les oméga-3 EPA/DHA ont un effet anti-angiogénique, c’est-à-dire qu’ils limitent la création d’un réseau vasculaire au niveau des lésions endométriosiques (Spencer et al., 2009). 

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